Ici-bas tous les lilas meurent Je rêve aux printemps qui demeurent toujours Ici-bas les lèvres effleurent Sans rien laisser de leur velours Je rêve aux baisers qui demeurent toujours Apollinaire Guillaume
Ici-bas tous les lilas meurent
Je rêve aux printemps qui demeurent toujours
Ici-bas les lèvres effleurent
Sans rien laisser de leur velours
Je rêve aux baisers qui demeurent toujours
Apollinaire Guillaume
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